“Promesse” : un film qui donne sens à l’invisible, voix à l’indicible

Il y a des films qu’on regarde, et ceux qui nous traversent. Promesse fait partie de ceux-là. À partir du 23 avril, ce documentaire d’une rare intensité vous invite à faire bien plus que visionner une histoire : il vous propose de rencontrer une âme.

Un frère, une promesse, une œuvre

Thomas Hug de Larauze n’était pas cinéaste. Il était juste un frère. Un frère jumeau qui a fait une promesse : celle d’achever le projet de Laurène, sa sœur solaire, emportée à 22 ans après un long combat contre la maladie. Sept ans plus tard, cette promesse prend vie sur grand écran.

Une histoire née de l’intérieur

Ce film est né de l’intérieur, là où la douleur devient matière, et l’amour, moteur. Laurène, armée d’une caméra, a capté sa vie comme on tente de retenir le sable qui glisse entre les doigts. Sans fard, sans filtre, avec cette force qui bouleverse et qui élève. “Si tu ne peux pas rajouter des jours à la vie, alors rajoute de la vie à chaque jour”, disait-elle. Et elle l’a fait.

Un hommage, mais bien plus encore

Promesse n’est pas qu’un hommage. C’est une œuvre nécessaire. Pour ceux qui vivent avec la maladie. Pour ceux qui accompagnent. Pour ceux qui restent. C’est un cri doux, un miroir lucide, un baume.

Un film à vivre

Allez voir ce film. Emmenez vos doutes, vos silences, vos peurs. Vous en sortirez plus vivants.